Située à St-Amand les Eaux, cette station a été construite en 1974 et modernisée à plusieurs reprises (1999, 2001, 2008). Située à la confluence de plusieurs cours d’eau, cette station permet, grâce à 3 vis d’Archimède de 2m³/s chacune, de relever les eaux de la Traitoire, des fontaines d’Haveluy et d’Hertain et une partie des eaux du Décours dans la Scarpe.

Vidéo de fonctionnement des dégrilleurs et des clapets anti-retours.

Située à Millonfosse, sur un bras du Décours, cette station a été construite en 1986 agrandie et modernisée dans les années 2000. Cette station est équipée de 3 vis d’Archimède (puissance maximale 4m³/s) et permet de relever les eaux du Décours vers la Scarpe. Elle est équipée d’une passe à poissons.

Vidéo de fonctionnement des vis d’Archimède.

Située à Flines-les-Râches, cette station a été construite en 2005. Cette station est équipée de 4 pompes permettant d’évacuer les eaux du Maraichon, de la Raches et du Décours dans la Scarpe (puissance maximale 2400l/s).

Vidéo de fonctionnement d’une des 4 pompes

Située à St-Amand-les-Eaux sur le courant des Hamaïdes, cette station de pompage a été construite dans les années 2000. Elle est équipée d’une pompe d’une puissance de 0.2m³/s, et permet de pomper les eaux du courant des Hamaides vers la Scarpe.

Située à St-Amand-les-Eaux sur le courant des Hamaïdes, cette station de pompage a été construite dans les années 2000. Equipée de 2 pompes d’une puissance de 0.325m³/s, elle permet de pomper les eaux des Hamaïdes vers la Scarpe.

Située sur le courant de Fenain à Fenain, cette station de pompage est équipée de 4 pompes (puissance maximale de 440l/s). Cette station permet d’évacuer les eaux du marais de Fenain qui s’accumulent suite aux affaissements houilliers, vers le cours d’eau.

Située sur la dérivation du courant de Coutiches à Marchiennes, cette vanne manuelle a été aménagée en 2003 2004. Elle permet, lors de son ouverture, de soutenir le niveau d’étiage sur le Décours (débit maximum 150l/s).

Située sur le courant du mortier chaud à Sars et Rosières, cette vanne a été aménagée en 2004-2005 lors des travaux de la canalisation de Tilloy. Cette vanne permet, en position ouverte, qu’une partie des eaux de crue du courant de l’hôpital passe dans le déversoir et dans la canalisation de Tilloy pour une évacuation vers le Décours.

Mise en place en 2005, elle est asservie au niveau d’eau de la ZEC et a pour but d’empêcher les eaux du courant de Coutiches d’être captées par le déversoir

Située sur l’ancienne Scarpe à Wandignies-Hamage, cette vanne a été construite en 1994 et modernisée en 1999. Cette vanne évite que la Scarpe en crue, ne déverse dans la Traitoire.

Localisée sur le Décours à Millonfosse, cette vanne a été construite dans les années 1990 et modernisée en 2005. Lors du fonctionnement de la station du canal broutin, cette vanne doit s’abaisser pour empêcher que les eaux du Décours médian ne soient pompées par la station.

Ces vannes sont asservies à la ZEC de Bellaing (1999) et permettent soit de laisser l’eau s’écouler sur le courant des fontaines d’Haveluy, soit de remplir le bassin en fonction des niveaux d’eau.

Située sur la Traitoire, à l’amont du canal d’amenée à la station de l’Anguille et au niveau de la confluence entre le courant des fontaines d’Hertain et la Traitoire, cette vanne sert à sectionner la Traitoire et orienter le flux d’eau vers la Scarpe.

Situé sur un bras du Décours à St-Amand-les-Eaux, ce clapet a pour objectif de permettre un écoulement gravitaire du Décours vers la Scarpe, tout en empêchant cette dernière de remonter dans le Décours.

Située sur le Décours à Saint-Amand-les-Eaux, cette vanne a été aménagée en 2002. Elle permet de réguler les eaux du Décours, notamment en période d’étiage, en aval du pont et évite le refoulement des eaux de l’hôpital.

Située sur le Décours à Thun-St-Amand-les-Eaux, cette vanne a été construite en 2001. En position relevée, elle permet de soutenir le niveau d’étiage dans le Décours. Cette lame est équipée d’une passe à poissons.

Le syndicat dispose également de 16 sondes de mesures réparties sur l’ensemble de son territoire. Ces sondes permettent de suivre les variations des niveaux d’eau et permettent également de gérer le fonctionnement des ouvrages hydrauliques en fonction des niveaux de déclenchements programmés.

4 pluviomètres sont également installés afin de suivre de façon plus précise les variations de précipitations à l’échelle du territoire.